Ouest du Parc

Petit coin tranquille du Parc de Fantania où il fait bon se prélasser ou juste se balader.

En cette fin d'après-midi, Lys sera venue dans ce coin du parc. Une chance, il n'y a quasiment personne, elle va donc pouvoir faire un entraînement tranquille. Entraînement inédit, par ailleurs, car elle compte travailler sa technique de combat. Etant donné que l'affrontement avec le Dragon approche à grand pas, il est temps d'entraîner ses compétences au combat, bien que cela fait un long moment qu'elle n'a pas eu besoin de se battre. Elle commence donc par un petit échauffement histoire de chauffer son corps un peu. Elle fait des courses rapides sur quelques mètres, des montées de genoux, de quoi réveiller les muscles de ses jambes. Elle fait également des étirements du dos et des bras. Une fois l'échauffement terminé, elle commence les choses sérieuses. Elle dégaine son cimeterre et donne des coups dans le vent en mettant le plus de puissance possible. Elle essaie de travailler ses placements également, afin qu'elle puisse conserver vitesse et agilité peu importe sa position et la situation. Etant sur la partie terreuse, cela lui permet aussi de travailler ses réflexes au cas où elle glisserait en faisant des mouvements couplés à des esquives d'ennemis invisibles. Après ce gros échauffement, elle boira un peu d'eau. Ce n'est pas le genre d'entraînement qu'elle fait souvent, préférant nager de longues heures pour travailler son corps, mais le fait est qu'elle ne peut pas et que la situation avec le Dragon l'exige. Une fois qu'elle a récupéré, elle retourne à l'école de médecine pour préparer ses affaires et retourner sur Valyria. L'heure du combat arrive à grand pas et elle doit le revoir avant, lui dire ce qu'elle ressent pour lui avant qu'elle n'en est plus l'occasion. Elle n'a jamais été aussi pressée de revoir quelqu'un de toute sa vie.

Ougien vient dans le parc en cette fin d'après midi pour faire des exercice de magie. Il ne laisse pa cete matière de coté. Il c'est rendu compte qu'il 'etait faible dans ce domaine alors il travaille cette matière sans relache.

Là, il fait des exercice sur les sort offensif. Il fait des séries de tir sur des bras morte plantées au sol avec des "UNDA". Il touchera donc 8 fois sur 10 les banches, il n'aura par contre fait que 3 tirs destructeur.

Il marchera pour ramasser des petite cailloux, de 8 cm de diamètre et cherchera une vielle souche. Il se positionne a 12 mètres de la "cible" et commence ses tires d'usus. Il touchera aussi 8 fois sur 10 la souche. Et aura la aussi fait 3 tir violent qui auront fait sauter un beau marceau d'écorce a la souche.

Ces entrainements commencent a porter ces fruits et ces tirs sont touchant, reste maintenant a les faire évolué et tirs puissants.

Il rentrera finir ses cours.

Ougiens est là encore a venir faire des exercices pour la maitrise des sorts. il attaque donc la répétition du Unda Sur une souche d'arbre. 3 fois 10 tire sur la souche.
résultat 8 tirs ratés, et 11 ayant un impact très significatif.

il continue avec des tire de petit caillou mais un peut plus gros que la fois précédente. Pareil 3 fois 10 lancer du sort Usus .
Résultat 7 ratés et 12 ayant un impact très significatif.

Il tente de faire la même prouesse avec Receptum il tir sur des caillou au sol pou les repousser. pareil 3 fois 10 lancer du sort.
Résultat 11 lancer raté ou faible et 9 ayant propulser les caillou tres loin.

Ougiens a donner rendez vous à un collègue de l'école de médecine, du premier semestre avec qui il a
s'impatisé. C'est un jeune humain qui souhaite s'entrainer a l'arc contre un mage. Ils ont déjà fait des entrainement et ce jour, Ougiens lui a demander de le faire pour tester, que le jeune homme s'entraine a des tirs a une distance lui permettant de le toucher assez facilement.

Le but est que Ougiens s'entraine en magie bleu de protection. Ougiens est donc déjà là, il est assis par terre lisant un grimoire sur "l'Art de pratiquer l'analyse post-mortem d'un être vivant."

Il est tellement concentré dans cette lecture, qu'il n'entend pas arriver son camarade. Ce dernier arrive par derrière et vient de son arc lui mettre l'arme dans le dos.
Ougiens sursaute un peu laissant tomber son livre sur le sol, la page montre un croquis, d'un cadavre la cage thoracique ouverte et laissant voir des organes en sortir.

Son camarade voyant cela lui lance.

-"Ougiens, tu me surprend dans le choix de tes lectures, on te voit raffiné, présentant bien, posé et d'une gentillesse permanente, mais se vieux grimoire montre une facette que je n'arrive pas a comprendre. Pourquoi lis tu des choses aussi dégoutantes ?"

Ougiens se sera retourner pour saluer son camarade, et commencera a lui expliquer rapidement.

-" Frantz, je cherche a être un médecin le plus efficace possible et cette ouvrage est un vrai bonheur, l'homme qui l'a rédigé a fait tant de dessins , de pratiques, d'essais que l'on apprend
beaucoup sur le corps humain. Et je suis sur que nous avons encore des million de choses a découvrir. Alors oui j'ai des lectures un peu gores.

Il lui sourit et se lève ramassant en même temps son grimoire et le rangeant dans le sac a coté de lui.

-"Bien, je vois que tu as ton arc, et que tu as pris les flèches d'entrainement. Commençons alors si tu veux bien !

Ougiens pose son sac contre un petit arbuste et commence a s'éloigner de 10 mètres. Il fait signe a Frantz, pour qu'il commence ses tirs. Ils ont convenus de faire 2 fois 5 tirs a des vitesse différentes les premier vont être lent.

Résultats des 5 premiers tirs :

1 Le tir est moyen et Ougiens lance Protegit et la flèche est déviée par sa barrière sans aucun soucis.

2 Ce tir est vraiment puissant et Ougiens surpris par la vitesse de la flèche n'arrive pas a ériger sa barrière a temps et se fait toucher par la flèche il aura un beau bleu dans les heures qui vont venir.

3 Un joli tir qui est précis, Ougiens lance son sort qui arrête la flèche de justesse.

4 La flèche a une course bizarre, et Ougiens semble distrait par ce tir et arrive a peine a former une protection. ais la flèche tombe avant de le touche sur le sol.

5 Sur ce dernier tir, l'un comme l'autre ne font pas un exploit. C'est un tri moyen et une protection limite .

Résultats des 5 tirs rapide : malus pour Ougiens de - 10

1 Le premier tir est joli, mais Ougiens est près et on assiste a un phénomène ou la force de la flèche et de la barrière son de même résistance et on voit donc la flèche arrêtée a 2 cm du corps du sorcier pendant 3 secondes, avant qu'elle ne tombe.

2 le tir est enchaine avec une rapidité exceptionnel et Ougiens n'a pas le temps de créer son sort et prend la flèche dans l'épaule. Il sent le coup de ce tir parfait, il aura encore un bleu.

3 le jeune Frantz, excelle dans les tirs rapides et encore une fois, son tir n'est pas arrêté par Ougiens la flèche lui tape la cuisse, mais l'impacte est moindre.

4 Frantz exécute un très joli tir, la flèche fuse vers Ougiens a une vitesse folle mais le sorcier, concentré cette fois parvient a lancer son sort rapidement et avec une très grande force. quand la flèche percute la barrière, la flèche explose en plusieurs morceaux de bois. Elle est détruite.

5 un tir rapide mais de faible force, mais Ougiens n'arrive pas ériger sa barrière en totalité et la flèche arrive juste au dessus de la zone protégé d'Ougiens. ce faisant touche par le projectile.

Ils ramassent les flèches et vont s'assoir sur un coin de pelouse, ils parlerons de cet exercice.

Puis Frantz demandera de l'aide a son ainé pour un exercice en médecine sur les différentes méthodes d'arrêter une hémorragie. Ougiens reprendra le cours avec lui et le laisse chercher des méthodes. A la fin, il lui donnera celle qu'il a oublié ou pas trouvées.

Ils passerons une partie de l'après midi ici a parler de différentes choses, mais aussi du faite que Ougiens allait partir pour Riordan. Finir son apprentissage a l'infirmerie de la caserne des mages.

Ils se promettent de s'écrièrent et de se voir de temps en temps. Ils repartiront pour l'école.

Ougiens est venu avec Frantz et un autre élève, dans ce parc pour faire leur entrainement. Aujourd'hui Frantz va attaquer Ougiens qui va devoir se protéger avec le sort Protegit. Le but de la manœuvre est que l'autre élève attaque soit Ougiens soit Frantz et le but est que Ougiens arrive a protéger son camarade ou lui.

les deux amis se recule de 3pas et se mettent face a Gontran l'autre élève. Et ils attendent l'attaque. Et la première est diriger vers Ougiens qui réagit trop lentement et ce prend donc la flèche d'entrainement.

2em : Gontrand arme son tir et vise Frantz, Ougiens se prépare donc a lancer Praesidio, mais voit l'arc bouger dans sa direction Gontran a feinter et il l'attaque , alors a la hâte Ougiens lance Protegit, le sort fonctionne mais l'attaque a été rapide le bouclier ce forme au moment ou la flèche est a 5 mm du corps d'Ougiens elle n'est que ralentit. Le touchant en vrai combat elle aurait fait une éraflure.

3em est un tri direct Ougiens lance Praesidio, mais comme il ne l'a jamais fait il n'arrive pas a le faire correctement il ne fait qu'un bouclier sur le bras gauche de Frantz qui ce fait toucher.

4em Gontran confiant dans ces tir attaque Ougiens, qui lance un Protegit bien réalisé, mais qui ne sert pas car Gontran rate son tir, la flèche tombe a ses pieds.

5em l'attaque est sur Frantz, Ougiens lance Praesidio, la flèche fonce avec rapidité sur son camarade mais il arrive a faire un bouclier complet cette fois qui arrête la flèche sans aucun soucis.

6em une nouvelle attaque en direction de Ougiens qui lance le sort bouclier sur lui même et qui parvient a arrêter la flèche.

7em cette fois Ougiens lance son sort sur Frantz voyant le regard de Gontran sur lui, La rapidité des deux est équitable et la encore le bouclier se forme sur la flèche qui est a 1 cm de Frantz elle n'ai que ralentit et donc vient touche le flan de son camarade, sans aucun dégât si cela avait été en combat.

8em Ougiens et Gontran ce regarde au moment ou la flèche de ce dernier est lancée, Ougiens lance bouclier sur lui mais son sort n'est pas parfait, il l'entoure bien mais la force du champs de protection n'est pas suffisante pour arrêter la flèche.

9em Un tir rapide sur Frantz surprend Ougiens qui tente un bouclier sur son camarade mais il est encore une fois pas assez rapide et il le fait une fois la flèche sur Frantz.

10em Gontran vise Ougiens cette fois, mais un mouvement des yeux du tireur incite Ougiens a lancer Un Praesidio plutôt qu'un Protegit. Son sort est tres vite réaliser et de bonne force, l'attaque de Gontran était bien destiné a Frantz qui est protégé par le sort d'Ougien.

Cette exercice a montrer a Ougiens que la difficulté et de lancer le sort au bon moment et sur la bonne personne. Il continuera donc a faire des entrainements dans ce sens.

Ougiens est venu ici pour s'entrainer a la maitrise du contrôle de la magie. Alors il sort son catalyseur et le met dans sa main droite et commence par se concentrer sur le fluide d'énergie pour la faire venir sur son catalyseur.. Une fois que cette dernière se matérialise par un picotement dans la main il regarde donc a dix mètres et voit un bloc de 10 kg taille dans la pierre. Il décide de le faire venir vers lui. Alors il lance donc un "Furarus" dessus en se concentrant de toutes ses forces sur l'energie qui se concentre au niveau de son catalyseur. Il arrive a le lever, mais il sent qu'il aura du mal a le déplacer, car il ne maitrise a ce moment la pas suffisamment son contrôle de la magie.
Alors il se concentre sur une chose qui pourra lui permettre de maitriser le controle de la magie bien mieux.

Alors pensant a Elise, il envoie de plus en plus d'énergie dans son catalyseur pour avoir cette force du contrôle de la magie et il commence a faire bouger le carrée de roche vers lui. Celui ci commence a venir vers le sorcier un peu plus facilement mais c'est pas encore une maitrise total alors il continue a se concentre sur le fluide de la magie pour maitrise cette magie. Mais c'est toujours compliquer pour notre sorcier. Le rocher est en lévitation mais son déplacement est vraiment très lent. Il va renoncer mais a ce moment une plume rousse vole au dessus du rocher vers sa direction et a ce moment la une vague de chaleur intense parcours son bras.

Le rocher devient comme léger et se déplace plus vite, sur cette fin de l'exercice est lus facile c'est que la vue de cette plume lui a donner le contrôle de la magie. Il aura donc fait cette exercice pour augmenter ces compétences dans le contrôle de la magie.

Thomos était installé à genoux dans l'Ouest du parc de Fantania. Il n'était pas là par hasard, enfin, à Plams par hasard. Ici, précisément, dans le parc, il méditait et se reposait en même temps. Car si Vicarion lui avait bien appris quelque chose, c'était que le corps et l'esprit devaient être en adéquation. Lui était un homme de chair et de sang, passant sa lance au rythme des coups de reins qu'il donnait la nuit. Mais ce n'était pas en copiant Vicarion que Thomos deviendrait un grand chevalier. C'était en laissant son corps suivre ce que son esprit souhaitait. C'était en étant lui-même. C'est ce qui poussait le futur grand chevalier à méditer ainsi, à calmer et vider son esprit de tentation que Vicarion embrassait. Lui, lui était un homme de foi. Un jour, il trouverait une femme qu'il aimerait toute sa vie durant, leur lien sacré par le soleil lui-même. Lui était un chevalier qui mourrait au service de son capitaine, son prince ou son roi, pas sur une île infestée par la piraterie et l'alchimie. Dans le grand schéma des choses, Thomos ne serait qu'une brillante étoile, mais c'était bien la place qu'il méritait, il n'avait ni la prétention de vaincre le soleil ni de le surpasser. Il était une étoile, et il brillerait à jamais par sa foi et par son épée.

Mais avant tout et surtout, par ses exploits détective et guerrier. Il était bien loin des héros de romans. Mais il le savait, il se rapprochait terriblement du corbeau et de sa troupe. Que ce soit les incidents de Valyria, ceux de Riordan ou plus récemment les échos d'incident à Plams, une ville juste à coté de Riordan qui plus est, son flaire n'en démordait pas, il était claire et net qu'il se rapprochait petit à petit des voleurs, menteur et pilleurs qu'étaient la bande du corbeau. Mais, et le mais était important. Il ne pouvait pas simplement fouiller toutes les maisons de Plams sur une simple intuition. Aussi, pour l'instant, chaque jour, en se levant, sans se raser, mais avec un brin de toilette et un maigre déjeuner, Thomos quittait la chambre de son auberge pour rejoindre aussitôt le parc, ici, il observait les gens passer, mais surtout il passait son temps à s'entraîner, l'esprit, comme expliqué plus tôt, mais aussi le corps, l'art de l'épée, de la parade et la simple constitution. Si la comparaison devait être faites avec Vicarion, encore une fois, la lance de l'Aube était certes un combattant expérimenté, mais avec son propre style excentrique, il n'en était rien de Thomos, lui suivait le guide sur l'escrime à la lettre, et même si il avait ses propres techniquement à lui et sa propre volonté. Ce qui faisait sa force, à lui, c'est que son épée était un outils de Justice, et pas une arme pour satisfaire sa soif de sang sans fin.

Du moins, c'est le visage que donnait Vicarion quand il combattait. Et, ça n'avait rien à avoir avec celui que Thomos voulait donner. Lui, lui n'était un vent destructeur qui ravage chaque criminel sur son passage. Thomos se battait pour la liberté de chaque, pour que les faibles aient les mêmes chances que les forces. Et ce, malgré le fait que la violence continue encore et encore de perpétuer son cercle. Les pirates, les bandits, les voleurs et le groupe des alchimistes, tout ces gens étaient prêts à utiliser leurs forces pour dévorer la liberté des honnêtes citoyens. Alors Thomos, Thomos sacrifiait sa liberté à lui, suivait un entraînement rigoureux et n'attendait pas de médaille pour les gens qu'il tuait, car ces gens étaient, peu importe le spectre qu'on utilisait, des criminels. Des criminels qui ne voulait pas affronter, ni la justice de Galdria, ni celle de Valyria. Mais il n'y aucune chance pour que ces types ne souhaite affronter la Justice. Et si on fuit la justice, on récolte toujours le fer.

Quand Thomos était trop fatigué pour continuer ainsi à s'entraîner au milieu du parc, c'est là qu'il rejoignait son auberge, sa chambre d'auberge pour être exact, il commandait un plat à base de mouton à la jeune cuisinière, puis il se laissait à phaser dans sa chambre, en attendant que le plat n'arrive. Là, il se laissait dériver à penser à la belle et forte Athélea, qui avait laissé ses sentiments guider ses actions, et qui fatalement, avait été privée de tous ses titres et de tout ses noms. Avait-elle fait le bon choix ? Fallait-il faire passer le peuple avant sa propre carrière ? Thomos ne sait plus vraiment. Parce qu'à présent, Athélea ne pourrait plus jamais avoir le moindre impact sur Galdria. Du moins depuis l'intérieur des rangs militaires. Peut-être le savait-elle ? Thomos espérait en secret que les motivations du bouclier de Galdria n'avait pas changé. Il voulait croire qu'elle continuerait d'essayer de changer le pays dans les ombres. Pendant que lui, lui se devait de rester dans la lumière, afin de donner un exemple de chevalerie et guider le faible et le fébrile.

Ses réflexions n'étaient stoppée que par le bruit d'un petit poing sur le bois de la porte, qui signifiait qu'il pouvait ouvrir la porte pour récupéré son repas. Et après un sourire à la serveuse et une fermeture de porte, il mangeait de nouveau seul dans sa chambre. Remerciant Soltaris pour son repas, comme il saluait chaque matin le soleil, et lui disait adieu chaque soir.

Son repas moins maigre que celui du déjeuner terminé, Thomos pouvait s'atteler à la reprise de son enquête, entre différents livres et carnets qu'il avait récupéré au fil de ses recherches, Thomos passait en revu chaque indice et chaque témoignage qu'il avait récolté, chaque pièce du puzzle était important et chaque micro détail pourrait lui permettre de mettre la main sur ce qu'il cherchait tant. C'est là que, le regard de la serveuse lui fit comprendre quelque chose, c'est là qu'il avait fini par se lever, le regard dur et les sourcils froncés. Notamment à cause du désordre qui se produisait dans les étages plus bas. Attrapant son épée, son outils de Justice, Thomos descendait en courant dans les escaliers de sa chambre, pour peut-être réussir à avoir de l'impact sur la suite des événements qui mèneraient à la tempête un jour prochain.

Invité

Tandis que le rouquin aura quitté l'hôpital où il s'est rendu avec un bandage à l'épaule, il grimace à la vue de la blessure tandis qu'il se rappelle de la scène avec précision. Marchant au travers de l'ouest du parc, il ne souhaitait pas retourner à l'auberge ou il logeait de suite, cela serait bien trop triste de s'amener là-bas sans que Jeanne ne l'accueille d'un sourire bienveillant.

Se stoppant après plusieurs minutes de marche en faisant le point sur plusieurs choses, le médecin en devenir se sera assis sur l'un des bancs en dégainant son épée pour la tenir avec ses deux paumes de main à l'horizontal tandis que ses yeux se plissent. La soirée a déjà entamé son plein, et ce lieu n'est donc pas vraiment prisé en cette heure tardive.

Se relevant en prenant son épée, peu importe sa blessure. Il la tient fermement de ses deux mains, reprenant un entrainement qu'il n'avait pas fait depuis plusieurs mois. Il s'est ramolli, preuve de la blessure subit suite à son incompétence.

Se remémorant des paroles de sa tutrice lors de son enfance, il vient placer un pied en avant, frappant l'air d'un coup lent et précis, répétant plusieurs gestes de ses deux mains comme il l'a toujours appris. Il frappe, encore, et encore, jusqu'à prendre pour cible des visages fictifs, ceux qui l'on nuit durant son enfance, et celui d'une autre file aux cheveux bleu qu'il souhaiterait oublier pour toujours, mais qui comme brigande prenait peu à peu la place de l'antagoniste au sein de son esprit. Pris d'une certaine nostalgie à la suite de ses coups presque gracieux dans le vent et seul, il se demande encore une fois pourquoi avoir choisi la voix de médecin. Ah oui, c'est vrai. Pour pouvoir sauver le plus de personnes qui le lui sont proches. Mais c'est avec une certaine tristesse qu'il se rends compte peu à peu qu'il venait de s'écarter de ce chemin, au fil de l'eau, pour sacrifier cet idéal pour une seule personne.

Son épée se stoppant en l'air, son souffle se coupe presque alors que Lebak plissent ses yeux, abaissant son épée tandis qu'il remarque que son souffle s'accélère après cet entrainement, l'après coup d'un effort. Replaçant son épée au sein de son fourreau, il vient placer une main à son épaule, les souvenirs de la veille qui reviennent. Toutefois, ceci lui a permit de faire le point avec lui-même alors qu'il sourit faiblement en observant le ciel étoilé, levant son bras en l'air le poing fermé. Songé par un certain doute, il finit par accepter ce qu'il allait faire demain.

Reprenant sa marche, il se dirige de nouveau vers l'école de médecine ou il séjournera là-bas pour cette nuit.

Notre bon vieux Arsène était présent dans le parc. C’était à croire qu’il n’avait jamais cours vu le temps qu’il passait dans ce parc, mais peut-on lui en vouloir ? Pas vraiment, il n’avait pas grand-chose à faire dans cette ville mise à part réviser ou bien faire son travail. Fin bref, passons à l’entraînement. Il était encore là, avec son livre sur la botanique. Il se mit à lire un nouveau chapitre, reposant cette fois-ci sur la vigne rouge. Vous savez, le truc avec les raisins qui permet de faire du vin ?

Bah, notre Arsène de poche fut bien surprise d’apprendre qu’il était possible de faire sécher ses feuilles, ses pépins et la peau de ses raisons pour en faire un médicament contre l’insuffisance veineuse, contre les jambes lourdes, la varice ou bien contre les hémorroïdes. Incroyable n’est-ce pas ? Quelle autre surprise ce livre lui réserve ?

Une fois son chapitre terminé, il s’en ira vers d’autres cieux.

Pour sa balade du jour, Nina avait décidé de se rendre dans le parc de Fantania. Il n'y a pas à dire, depuis qu'elle est de retour à Plams, elle se sent mieux. Même si elle n'a pas visité toutes les villes de Galdria, c'est celle qu'elle apprécie le plus, et l'une où elle a ses meilleurs souvenirs. Son arrivée ici après Valyria, l'école de médecine... Tout cela paraît tellement loin désormais. Pour autant, revenir ici et s'installer à Plams est la meilleure idée qu'elle ait pu avoir. Palir était agréable et lui rappelait Angelus, mais c'est peut-être ce qui la dérangeait dans cette ville. Et puis, les heures de travail à l'hôpital, bien que très enrichissantes, ont été extrêmement éreintantes. Nina n'a pas que de très bons souvenirs là-bas, mais cela a permis de la forger un peu plus. Mais voilà, elle souhaitait avoir son propre cabinet, c'est pourquoi elle s'est installée de façon définitive ici.

Profitant de l'air du jour, la jeune femme observe le ciel en prenant une grande inspiration. Si elle se balade dans le parc aujourd'hui, c'est parce qu'elle a vu plusieurs affiches dans la ville faisant la promotion d'une petite troupe de théâtre. Intriguée, elle a donc décidé de se rendre à l'une de leurs représentations pour voir ce qu'il en est. Cela lui permet également de faire une pause dans son travail et de se changer les idées. Après un petit temps de marche, elle aperçoit quelques chaises disposées devant une scène de fortune. Elle s'approche alors et s'installe, attendant simplement le début du spectacle.

Nina aura pu s'installer tranquillement après avoir payé une petite somme en pièce d'argent. La pièce qu'elle aura pu voir s'intitulait "John et le génie". Comme son nom pouvait l'indiquer, cette pièce racontait comment un certain John avait fait la rencontre d'une lampe et d'un génie, alors qu'auparavant il vivait une vie pauvre et sans but, ne cherchant qu'à vivre pour demain, et travaillant sans envie et sans goût dans la boutique d'un apothicaire.

Comme la légende le veut, John avait trois vœux à sa disposition, et le premier fût d'être l'homme le plus riche de la terre. Et, bien vite, John devient terriblement riche, et il put s'acheter tout ce que son cœur désirait. Mais après plusieurs scène où ses amis se révèlent n'être plus là que pour de l'argent. Et une autre où John les chasse avec tout ce qui se trouve sous sa main, l'acteur se pose sur un fauteuil au milieu de la scène.

Il reste ainsi comme ça, sans rien faire pendant un bon moment, pour faire comprendre au public le passage du temps. Finalement, après que la lampe ait presque était oubliée depuis tout ce temps, John la ressort et la frotte à nouveau, souhaitant avoir de la compagnie.

C'est Iphigénie, avec ses cheveux bleus et longs qui sera alors entrée sur scène, tandis que le génie, lui, s'enfuit bien vite. La suite des événements compensent tout un tas de sortie et temps que John et Jane passent ensemble, des moments qui semblent combler la solitude du nouveau riche.

Malheureusement, dans un retournement de situation, Jane finit après un moment de quiétude, par révéler qu'elle se trouve être elle aussi un génie. Une génie en l'occurrence, qui a accepté de rendre un coup de main à un autre camarade génie, mais que, lorsque John aura fait son troisième vœu, elle disparaîtra.

Hautement décontenancé et avec l'impression d'être trahi, John se saisit bien vite de la lampe du génie qu'il avait de nouveau laissé quelque part dans le décor aléatoirement et lui demande des explications. Le génie avoue qu'il ne peut pas créer une personne de toute pièce et qu'il s'agissait de la solution la plus viable. Finalement, dans des mots qu'il ne contrôle peut-être pas, John souhaite ne plus jamais voir le génie, mais que Jane reste pour toujours avec lui. Et malgré l'air abattu du génie, il s'exécute. Puis peu de temps après, Jane finit par disparaître à son tour.

John reste alors au milieu de la scène, comme plus tôt, terriblement riche, mais sans lampe et sans compagnie.

Quand le rideau tombe, un peu plus d'un tier du public applaudit, ce qui était une performance plus que potable. Quoi qu'il en soit, la troupe de théâtre aura fait nombre de salue au public avant d'inviter à rester à ceux qui veulent discuter ou simplement manger quelque chose de chaud.

Celle qui nous intéresse, Iphigénie est installée au bord de planche, observant les gens partir ou se diriger vers le chef cuisinier de leur troupe.

La pièce a plu à Nina, qui trouve que la morale et le fond de l'histoire sont assez profonds, même tristes. C'est pourtant une représentation plutôt fidèle de la réalité, dans une certaine mesure. A la fin du spectacle, Nina aura applaudit, puis sera restée, dans l'espoir de manger quelque chose. Mais tout le monde semble avoir la même idée, alors plutôt que de se précipiter sur le buffet, elle observe la scène et remarque la comédienne qui jouait Jane. L'Ange se lève alors et s'approche de la fille aux cheveux bleus, qui a sûrement réalisé la meilleure performance du jour.

- Bonjour. Je voulais vous féliciter pour votre prestation, c'était sublimement interprété, dit Nina en souriant.

Relevant le regard, puisqu'elle était de toute façon trop en hauteur pour relever la tête, la fausse bleutée aura dévisagé Nina, son visage lui disant quelque chose. Mais, c'était peut-être un souvenir trop obscure, ou simplement, un visage sur un bateau qui quittait la tempête. Difficile de savoir si elles s'étaient seulement parlé avant aujourd'hui. Mais, la deuxième génie décidait que non.

- Merci. Mais, pour être honnête, Jane est un personnage plutôt facile à jouer. Elle est ... Elle est supposée être heureuse. Alors elle ne demande pas trop de technique.

La Tempête est une partie de l'histoire que Nina a préféré oublié, elle ne se souvient donc pas d'avoir potentiellement croisé Iphigénie sur le bateau du Corbeau. Son esprit s'est plus ou moins fermé à ces souvenirs depuis et elle ne souhaite pas s'y replonger plus que cela.

- Tout de même, je t'ai trouvé bien au-dessus de tes camarades. Cela dit, je ne m'y connais pas énormément en comédie ou pièce de théâtre... Mais j'ai beaucoup apprécié votre représentation en tout cas ! Cela fait longtemps que tu joues ?

- Je suppose que c'est une question d'envie et de volonté. Je pense que tout le monde peu jouer un rôle. Même si tout le monde n'est pas de mon avis. Et, ça doit faire un peu plus de dix ans maintenant, j'ai commencé assez tôt et je n'ai jamais arrêté.

Après une pause, qui aura permis à Iphigénie de détourner le regard vers le buffet, elle demandera, peut-être par professionnalisme :

- Et, en dehors de mon jeu, la pièce t'as plu tout de même ?

- Hmm... Je ne suis pas tout à fait d'accord avec toi. Tout le monde peut essayer de jouer un rôle, en effet, mais peu de gens y arrivent réellement. Cela demande de laisser ses propres émotions de côté, ce qui n'est pas chose aisée.

Lorsque la jeune femme explique que cela fait plus de dix ans qu'elle est comédienne, Nina est un peu surprise. Elle a l'air jeune, ce qui signifie qu'elle a du commencer vraiment tôt. A moins qu'elle ne soit issue de ce milieu par sa famille, un peu comme les Protego.

- Oui, reprend Nina avec un sourire. J'ai beaucoup aimé les thèmes abordés. C'est toi qui a choisi de jouer le rôle de Jane ou un metteur en scène te l'as attribué ?

- Personne ne peut jamais complètement couper ses émotions Et même si c'est un état que j'espère toucher du doigt un jour, à mon sens, les émotions sont comme une rivière, on peut les détourner mais elle continuera de couler quoi qu'il arrive.

Rapprochant son genou de sa poitrine, Iphigénie fera non de la tête :

- J'aurais préféré ne pas jouer Jane, mais considérant mes compétences, et mon physique, le metteur en scène a préféré me l'attribuer tout de même. Mais, je ne trouve pas ça très intéressant. Dis-moi plutôt, si tu avais été à la place de John quel souhait aurais-tu formulé ?

- Oui, les émotions ne peuvent être entravées. Mais quand il s'agit de jouer un rôle, il faut laisser s'exprimer des émotions qui ne sont pas forcément les siennes en temps normal. Et inversement, il faut inhiber ses propres ressentis, ce qui peut être source de confusion, je trouve.

Nina repense un instant à son infiltration dans la pègre d'Angelus avant de battre deux fois des cils pour faire fuir ce souvenir.

- En temps que professionnelle, vous devez exceller dans cette pratique. C'est en tout cas l'impression que j'ai eu face à votre prestation.

A la réponse d'Iphigénie, Nina demande alors :

- Et qui auriez-vous aimé jouer ?

Simple curiosité de la part de la médecin, qui trouve cela fascinant l'aisance avec laquelle elle s'est glissée dans la peau d'un personnage qu'elle ne souhaitait pas incarner en premier lieu. Puis, à la question de la comédienne, Nina réfléchit. Quel vœu aurait-elle bien pu faire ?

- Il y a quelques années de cela, j'aurais sûrement demandé une vie pleine de rebondissements et d'aventures. Mais je n'aspire plus à cela désormais. Je pense que j'aurais, au contraire, demandé une vie calme et paisible, où l'angoisse ne serait qu'un mauvais souvenir.

- J'aurais aimé jouer John.

Aura répondu Iphigénie, sans faire attention aux autres remarques, peut-être parce qu'elle n'était justement plus dans son rôle, ou que la fatigue de la représentation avait réduit ses défenses.

- N'as-tu pas peur de finir comme John avec ce genre de souhait ? Une vie sans rebondissement, ça veut aussi dire une vie sans nouvelles rencontres. Comme si on était bercé par la nostalgie sans arrêt.

- Un personnage très intéressant, je ne peux que comprendre ce choix, répond Nina en hochant la tête.

Le personnage le plus triste dans cette histoire, en somme. Si elle avait pu, la médecin aurait aimé jouer le génie de la lampe plutôt.

- J'y ai pensé, mais ça me convient très bien. J'ai eu ma dose de rebondissements pour toute une vie, j'aspire simplement à la tranquillité maintenant. C'est pour cette raison que je suis revenue dans cette ville, d'ailleurs. Je ne serais pas nostalgique pour autant. Je pense que je serais simplement heureuse d'avoir pu vivre ce que j'ai vécu et d'en être sortie indemne ou presque, et je profiterais paisiblement du temps qu'il me reste à vivre.

Une réflexion de vieux même si Nina n'est pas encore sur la pente descendante. Mais quelque part, ce qu'elle a décrit à l'instant est la vie qu'elle espère mener ici.

- N'as-tu pas peur de regretter un jour ? Les choses que tu n'as pas faites. Les choses que tu n'as jamais dit, les opportunités qu'un simple "oui", aurait pu apporter ? En les rejetant toutes en bloc, tu te changes en esclave du destin. Ce n'est plus toi qui vient vers les autres, c'est les autres qui viennent à toi. Tu n'es plus en mouvement et tu viens tuer l'espoir.

Si tout à l'heure elle comparait les émotions à une rivière, que elle, elle venait dévier le plus souvent possible, alors dans son regard, Nina avouait être un étendue d'eau stagnante. Ce qui dérangeait au plus haut point la fausse sirène.

- Je ne le regretterai pas, j'en suis sûre. Et j'ai réalisé tout ce que je souhaitais à l'heure actuelle.

Le fait d'être comparée à une "esclave du destin" ne plaît guère à Nina, qui ajoute :

- Mon choix n'est pas définitif, il se peut que je change d'avis d'ici quelques temps et que je recherche à nouveau l'aventure. Mais actuellement, ce que je souhaite se trouve dans la tranquillité et le calme.

La jeune femme préfère se remettre de toutes ses aventures, et pour l'instant, l'appel de la découverte ne résonne plus en elle.

- Le vœu du génie te bloquerait dans une vie sans angoisse. Il y a peut-être même une chance pour que son vœu t'empêche d'être angoissé. Mais, si tu n'angoisses pas, je ne pense pas que tu puisses te remettre en cause plus tard. Enfin, bref.

Aura terminé Iphigénie, avant de se lever, le nombre de gens au buffet ayant diminué.

- La troupe compte passer l'hiver ici, puis au printemps on se rendra à Palir. Là-bas, ça sera à mon tour de décide ce que je veux faire ensuite.

La remarque d'Iphigénie n'est pas dénuée de sens, si bien que Nina hoche la tête.

- C'est possible, oui. Mais ça me convient ainsi.

Tandis qu'Iphigénie se lève, la médecin ajoute alors :

- Et vous, quel vœu auriez-vous demandé au génie ?

Quand la comédienne évoque Palir, Nina revoit alors les paysages montagneux et blancs de la ville. Le froid également. Etrangement, il fait plus froid à Palir qu'à Angelus, chose que la jeune femme n'a jamais réellement compris. Même au printemps, l'air est toujours relativement frais.

- Vous ne comptez pas rester avec la troupe ?

- Je pèse encore le pour et le contre, ça dépendra de quelques choses. Mais, il y a des chances pour que je les quitte un moment. Après tout ... Je n'arrive pas à me dire que je suis heureuse, même si je fais ce que je fais de mieux.

La fausse bleutée aura sauté de la scène en tenant son épée, puis aura pris place dans la file, avant d'offrir un large sourire à Nina, bien différent du reste de la conversation, sûrement parce que maintenant, il y avait tout un tas d'autres gens autour d'elles.

- Je l'utiliserais pour mettre ma famille à l'abri !

Nina reste silencieuse un moment avant de hocher la tête. Elle peut comprendre ce sentiment, même si elle ne l'a jamais réellement éprouvé jusqu'à maintenant. Lorsque Iphigénie descend de la scène, la médecin observe alors la file qui s'est réduite. Elle s'avance à son tour, bien qu'une personne ait réussi à se glisser entre la comédienne et elle.

- C'est un très beau vœu ! réagit-elle à la réponse de la bleue.

Nina est un peu plus égoïste à ce sujet, mais les deux femmes n'ont pas le même vécu familial. D'ailleurs, cela fait vraiment très longtemps que Nina n'est pas retournée sur Angelus pour aller voir ses parents.

...

Ça attendra encore.

En tout cas, elle fait désormais la queue pour avoir de quoi grignoter avant de rentrer. Et étant donné qu'il y a désormais quelqu'un entre elle et Iphigénie, la discussion risque probablement de s'arrêter ici.

Alors que Nina et Iphigénie se mettent en place dans la file, cette dernière se permet de retirer la perruque qu'elle portait ainsi et commence même à retirer son maquillage de scène qui déformait et cachait les autres traits de son visage. Une transformation impressionnante, ou pas, considérant le métier de la jeune femme. D'ailleurs, en parlant de ça.

- Et, c'est quel métier que tu pratiques dans le coin ?

Alors que Nina pensait que la conversation allait se finir ainsi, la désormais blonde Iphigénie lui pose une nouvelle question. Voilà qui fait plaisir à l'Ange, qui apprécie manifestement cet échange.

- Je suis médecin.

Nina avait répondu assez simplement, sans forcément se mettre en avant. Elle a un simple sourire, qui prouve qu'elle aime ce qu'elle fait.

- Quel genre de médecin ?

Aura demandé l'actrice tandis qu'elle se déplaçait pour laisser passer le type qui s'était mis entre les deux femmes.