[Ruby de Silverfing] : Bonjour, c'est vous mon nouveau majordome ?

Nom : Ruby de Silverfing

Biographie :
Ruby de Silverfing est une jeune fille bien née de la haute aristocratie Solarienne, ou plutôt, de la nouvelle aristocratie, ces derniers ayant été anoblies il n’y a que deux générations de cela après avoir rendu des « services exceptionnels à la nation ». En effet, la famille était originellement une famille de riches bourgeois qui par d’habiles placements fonciers se sont vites créés une place de choix dans la société, sans pour autant réussir à s’élever au-delà. Jusqu’à ce jour fatidique où rachetant une mine de fer sensée proche de l’épuisement, ils mirent la main sur un colossale gisement d’argents qu’ils se mirent à exploiter avec une efficacité sans précédente, au mépris du bien être des ouvriers. En quelques années, leur filière familiale se développera jusqu’à devenir un acteur incontournable du marché de l’argenterie. L’on raconte dans la haute société qu’il aurait même offert l’argenterie utilisée lors du grand banquet de la cérémonie de noce du prince consort de l’époque, ce qui aurait grandement contribué à l’anoblissement de cette nouvelle lignée.

Une noblesse nouvellement acquise qui ne sera pas vu d’un bon œil par de nombreux membres de la vieille noblesse, prompt au mépris et à la jalousie. Le charactère fantasque et ridiculement dépensier de cette nouvelle famille, ne fit rien pour arranger les relations qu’entretenaient la famille Silverfing que ce soit avec le bas peuple ou les hautes classes de la société. Une hostilité qui était loin d’être à sens unique, les Silverfing préférant de loin le marché que le respect des conventions de la noblesse. Parmis les quelques scandales étant arrivés aux oreilles des autres familles nobles, le mariage entre l’aîné Silverfing et une sirène de basse naissance, mais dont la famille se trouvait être un acteur majeur du commerce entre Afiliqua et Galdria et possédait quelques terres sur l’île, ouvrant ainsi de nouvelles opportunités commerciales et leur permettant d’acquérir à moindre frais les précieuses perles d’acres, matériel particulièrement prisé dans le milieu de la bijouterie.  

Malheureusement, la famille Silverfing ne possédait pas une descendance aussi prolifique que la mine disposait de ressource, fragilisant grandement son patrimoine. Une vérité qui s’abattra cruellement sur la famille quand le jeune héritier Théod’or se fera assassiner, au sein même de la capitale de Valyria, laissant Ruby seule et unique héritière de la famille, une nouvelle qu’elle accueillera avec joie, elle n’aimait de toute manière pas son frère et préférait être héritière qu’être marié à un riche noble et perdre toutes ses prétentions sur les richesses de la famille. Cependant, il était maintenant à craindre que la jeune fille soit en danger, l’assassin allait il s’arrêter en si bon chemin ?


Description physique : Ruby est un véritable petit bijou. Du haut de ses 1 m75, elle regarde toise ses confrères d’un regard dont l’arrogance est variable, mais jamais totalement absente. Elle possède de long cheveux bruns et bouclés et est toujours habillée richement. Elle porte régulièrement toutes formes de bijoux, à tel point que certaines mauvaises langues pourraient trouver que c’était une faute de goût. Elle se promène toujours avec son pistolet fétiche, une magnifique arme plaquée d’argent qu’elle a eut pour ses 11 ans, et parfaitement fonctionnelle.

Description psychologique : La jeune fille était à proprement dit… insupportable… Elevée dans l’opulence absolue, cette dernière n’a jamais eu besoin de rien, si ce n’est de plaire à ses parents. Elle est arrogante, manipulatrice, manque cruellement d’empathie, et bien d’autres tares que je serais bien en peine de lister. Si elle a besoin de quelque chose, elle le fait faire, sauf si il s’agissait de négocier, d’intriguer ou de tirer. Il devait s’agir là des rares choses que la jeune fille acceptait de faire d’elle-même. Pour son hobbit, c’est sans surprise car elle adorait faire des trous dans des choses sans avoir à fournir le moindre effort, et pour ce qui était de son usage du verbe, et bien elle se plaisait à croire que c’était de famille. Elle n’a bien entendu aucune considération pour le petit peuple, et pas beaucoup plus avec la haute noblesse qu’elle considère plus en rival, bien que ces derniers soient un mal nécessaire et qu’elle fasse attention à ne pas dépasser les limites…. La plupart du temps.