La taverne de la "Piécette dansante"

C'est alors que rodia arrivera ici, tout de suite, l'ambiance chaleureuse, la chaleur, et l'esprit bon enfant qu reignait ici vous prenez de suite.

C'est alors qu'il s'assied à une table libre alors que des gens danse, des luthiste joue, des gens ripaille et s'amuse.

M'enfin, c'est un bel endroit, et rodia sera déjà assis quand vega entrera. Elle pourra l’apercevoir avec deux verre sur la table.Un carnet ouvert, il aura un petit sourire alors qu'il regardera les gens danser et chanter pas totalement dans les clou mais avec le cœur. Rodia souriait et riait en les regardant alors qu'il sorti un crayon de sa poche et le posa sur son carnet.

Arrivée avec son chargement, la fille remarqua à quel point lui avait prit de l'avance. C'est bien sûr qu'il y serait aller de toute manière et ce n'est pas avec une mine correspondant à un profil emacié qu'elle le trouva.

Ses yeux migrèrent de sa position aux danseurs de bon cœur mais elle vit ça de l'extérieur, fraîchement débarquée d'une taverne bien moins animée d'autre que par ses machinations.

L'ailée n'était donc pas si séduite que Rodion, peut-être toujours perplexe.

Mais avec un petit sourire de détente, notre amie se dirigera vers la table et son verre, sans doute.

- C'est une ambiance différence du bar à chanson et à danse de la Carpe à Valyria, je trouve.

Ainsi prend-elle place en accrochant son sac à une des extrémités de la chaise, le verre posé sur la table comme tout à l'heure.

- Tu marches vites ou c'est moi qui ai mis du temps à récupérer mes affaires ?

Une fois installée, elle essaye de sonder le contenu de la boisson sans demander mais avec un regard quoique bref, expressif, puis elle se retourne vers un éclat de rire au niveau de la danse.

C’est du vin qu’elle remarquera, une des spécialité, ou du moins, une des production les plus developpé à frize.

Il regarde alors vega s’assoir et répondra

- Ah, tu viens de valyria toi aussi alors. On a sûrement du se rencontrer en classe alors ! Enchanté vega ! Qu’est-ce que tu deviens dis moi. d’un ton agreable et souriant avant de l’interompre avant qu’elle ne réponde Je sais !!! Dis rien j’ai deviné ! Au vu de tout le packetage que t’as embarquée avec toi pour simplement aller boire un coup…. Je dirai…. Garde !

On pouvait voir une fille qui quittait son air suspicieux pour être plus disponible, et qui portait ainsi son verre de vin au niveau du nez pour l'humer.

Est-ce que ça sentait comme à cette fête, ou bien y avait-il plusieurs vignobles à cause desquels elle risquait plus à perdre en buvant, qu'à gagner en familiarité ?

Un sourire vint émacier son visage.

- Non, on ne s'est pas rencontré en classe. Retorqua-t-elle avec mystère.

Puis elle rebondit après son interrogation :

- Ça par exemple, avec cette question, est-ce que tu n'essayerais pas de savoir d'où je viens pour retrouver qui j'étais ?

Le champ de vision se troubla un peu lorsque L'Ange aura plissé les yeux.

Ensuite : - C'est quoi, c'est cette fibule entaillée et la cape qui ont attiré ton attention, ou tout le packetage..? Parce que je vois mal un garde conventionnel se trimbaler avec ça :

De son sac, l'Enigme fit jaillir sa tablette de cire, ajustée contre une plaquette de bois. Elle la tourna vers le joueur. Voici ce qui y était écrit :


C'était écrit en langue commune, le reste semblait être en Agellos.

- Je peux danser aussi, mais il faudrait alors que je garde toujours mes affaires. Et pour se mettre en garde, il faut je pense bien se distinguer des civils d'une manière ou d'une autre. En fait.. être encombré permet de disperser le regard, et voilà : personne ne voit que le garde laisse filer son vin.

Elle acquiesce alors de concert avec la déduction de Rodion, l'ayant explicitée.

- Et sinon pour en revenir à toi, tu fais toujours des dessins naturalistes ou tu t'en es distingué ?

Alors rodia l’écouta, à la premiere réplique il haussa un sourcil, puis à la seconde qui etait une question il hausse les épaules avant de tout ecouter puis de répondre a l’ensemble :

- Non non, enfin, j’en sais rien je vais pas te mentir, donc je pose des questions. T’es pas obligé de répondre tu sais. On peut passer la soirée â se regarder dans le blanc des yeux avec un silence malaisant. Moi dans tout les cas, ça ne changera pas trop ma soirée ! il bu un coup avant de dire, regardant vite fait la tablette, n’en ayant visiblement pas grand chose à faire Des gens avec des capes et se trimbalant avec des trucs louches j’en voit passer beaucoup tu sais. De base je t’avais même pas remarqué. Du moins, j’avais vu que tu faisais un truc avec je sais pas quoi, et ça avait l’air tellement chiant que j’voulais pas trop m’attarder. J’m’attendais pas à ce que tu ramenes tes machins avec toi. toujours en regardant les saltimbanque faire la fiesta, si vega devait comprendre quelque chose, c’est que ce qu’elle faisait avec ses tablettes, ou ses devinettes chelou, rodion n’en avait rien à faire. Après une rude journée en cours, il n’a pas la tête à poser des questions sur ce que fait réellement vega là tout de suite avec ses tablettes ou quoi que ce soit d’autre.

Ensuite, quand la discussion dévie sur lui, simplement il dira :

- Eh bien maintenant je fais de tout ! J’exploite le monde de l’art et des genre ! Un immense champ de possibilité, et j’en suis qu’a mes début ! Et toi, ta tête me reviens maintenant ! Tu es une éleveuse de brebis de valyria ! en souriant sur la fin, le regard qui s’illumine ! Il était sûr d’avoir trouvé

Aussitôt sortie, la tablette retourna dans le sac. L' intitulé eu au moins droit à un coup d'œil de la part d'un artiste. Vega ne pouvait se revandiquer comme tel.

Et stoïque, l'Ange tâcha de faire peu de cas de l'intimidation et mise en garde du Drôle. Quelle réplique ! Comment rebondir ?

- C'est trop facile si je te donne la réponse, et puis c'est beaucoup plus intéressant de voir quelle vie tu m'invente. De Garde à Éleveuse de brebis donc ? J'ai vu que t'as quand même jeté un coup d'œil à ce que je trimbalais et tu arrives à croire que souhaite m'amuser à faire du Droit à des brebis ? – Ça se voit dans ton sourire – sourire Peut-être qu'elles auraient un lait plus conforme aux normes sanitaires comme ça.. Beuh.. mais moi j'aime pas trop le lait de brebis, et toi ? Elle lève les sourcils.

Puis après une pause, en réfléchissant, les yeux portés vers le côté haut :

- Tu.. sais les dessiner au minimum j'imagine, mais sur quel autre support tu saurais les représenter ?

Elle boit une gorgée.

- Mais t'as raison, c'était pas très marrant d'essayer de restaurer ce grigri moi-même. Enfin, puisqu'on parle de toi, j'en crois pas mes yeux : en fait ça t'as quand même touché au point où tu as cru que j'allais laisser mes affaires là bas, normal. C'est à se demander si tu as passé ton cours là dessus dans la galère et que tu veux plus avoir à faire à ça.

Reposant son verre, elle fermera ses lèvres d'un mouvement éclair de l'index et le pouce pour clore cet épisode.

- Santé au fait.

Petite pique sur sa pâleur ?

- En tout cas si tu abandonnes, repose moi la question et je te dirais ce que je fais. J'espère en tout cas pour toi que je ne devient pas plus barbante à chaque prise de parole. Je dois avoir l'alcool bavard.

L'air indifférente, l'aînée se tourne vers les danseurs en attendant quelque réponses.

- Et… moi… ?! Si j’aime le lait de brebis ? Quelle question… mhh… je sais pas. Pour moi tout les laits son pareils. Brebis vache poule, c’est identique je te le dis ! ensuite il poursuit Eh bien ma foi, je les dessines pas pour l’instant, pais je pourrai assez facilement les présenter sur tableau si j’en ai envie. C’est au grès des envie et de l’inspiration. Eh ouai, je pensais que t’allais me suivre direct et pas embarquee tes affaires… ça aurait rajouté du romantisme à la scène. Partir avec un parfait inconnu boire un verre… ou plutôt partir avec une parfaite inconnue ! Car pour l’instant c’est ce que nous sommes toi et moi ! il aura un sourire joueur alors en la regardant Et peut-etre que ça serait plus avantageux pour nous deux que ça le reste qui sait ? ensuite il levera son verre aux mots de l’ange A notre santé ma douce ! Et non t’inquiète ! Si t’es barbante je te le ferai savoir… en clignant tres vite des yeux par exemple… ou en te lançant des petites piques ou des compliments ! en souriant et avec un petit sourire avant dd conclure Tu es pavtaban !

- C'est que tu n'as pas un bon palais ou que tu t'en fiche de savoir ce que tu bois. Là par exemple depuis que t'es à Frize, j'crois qu'on peut se rejoindre sur l'homogénéité des soi-disant vignobles en un tout..

Vega sembla avoir une question en tête, avec une hésitation, mais Rodion parla de rester des inconnus. Elle sourit après la symétrie des fuites de la taverne, et en en étant tout les deux partis..:

- Ça montre qu'on est libre de nos mouvements et qu'on est très confiant, malgré l'âge.

Elle essayait d'en dire le moins possible, ça l'amusait. Ses sourcils se haussent, cherchant la petite bête avec une sournoiserie affable :

- Ma douce c'était un compliment ?

Puis c'est en rebuvant qu'on pouvait l'entendre clairement siroter son jus alcoolisé.

Avec moins d'entrain - C'est ça, Pavtaban.

Franchement, t'as deviné du premier coup ! Et si je chaperone mon artiste en herbe ; j'pense que c'est pour bientôt les tableaux. Hmm.. tiens, qu'est-ce que tu pense de.. "faire", hhm peindre de bons bergers ou.. plutôt de bonnes bergères ?..

Attendant un peu pour déglutir, elle mit sa main sur la poitrine en présentation :

Et alors moi, je serais pas mauvaise quand même avec eux malgré mon dégoût.. hein ? Oh, je devrais pas avoir besoin d'être rassurée ! Enfin, je ne suis pas des plus à l'aise avec les animaux. conclut-elle avec une ouverture toute trouvée qui les ramenaient aux bêtes réelles.

Mais vrai ou faux pour la confidence de fin, celle-ci était neutre.

- Sûrement sûrement ! Donne moi de l’alcool de palir ou du vin d’ici, y’a aucune différence pour moi ! ensuite elle répond Exactement ! On est libre de tout ! Malgré notre âge. Des oiseaux vega ! Un oiseau sa vie d’amour fugace et d’eau fraiche ! Tiens… ça me rappel presque un debut de chanson qu’un collègue avait chanté une fois. en souriant

Ensuite, en prenant de belle lampée de vin il poursuit:

- À ton avis ? Je te laisse juger, ptet que c’etait un vrai compliment, ptet que c’était pour te dire que je te trouve barbante amusé par la situation et souriant, regardant se plus en plus vega

Ensuite il écoutera, hochant la tête d’abord confirmant qu’il etait encore en etude, puis sur la fin il aura un sourire amusé encore alors qu’il répondra en hochant la tête :

- Hm… de bonne bergères plutot ! Avec une peau douce et la fois difficile… un teint un peu bronzé par le soleil montagnard mais sans pour autant lui donner un teint hâlé… mais assez pour avoir… comme des petites taches argentés sur le visage tu vois ? toujours en souriant slors qu’il continu sa démonstration en fermant les yeux et dessinant de sa main comme un peintre dans le vide un jolie corps… souple et ferme… une montagnarde généreuse et altruiste… presque laiteuse, faisant honneur à la montagne qu’elle parcours jour après jours. il ouvre les yeux ensuite. Et regarde vega ensuite en haussant les sourcils Tu vois le délire ? Et moi aussi les animaux je suis pas à l’aise avec… du moins ils m’aiment pas surtout, parce que moi je les aime plutôt t’sais ! Même si ma première rencontre avec un chien a débouché sur une course poursuite pour ma vie ! en riant amusé de raconté ça et d’y repenser

Chanteur luthiste danseur, tous se succède dans une valse sans fin pendant ce temps. Bonne ambiance generale pour le moment.

Malgré le champ lexical ailé qui ne lui laissait pas un bon souvenir - d'où peut-être l'absence de duvet, ne serait-ce que sur le haut des lèvres -, Vega restait sournoise sur les détails de son vocable. C'est qu'elle en connaissait des mots la Pavtaban. Elle faisait du Droit continental et ultra-marin, s'il-vous-plaît !

Se rapprochant de la table légèrement, les coudes sur l'arête, elle le titilla : - Je suis sûre que t'as ajouté consciencieusement ton "presque" pour pas avoir à pousser la chansonnette. Pourtant, c'est l'endroit idéal.

Mais elle s'arrêta un temps de parler pour écouter : elle veut être certaine de ce qu'elle avançait mais en fait.. :

- Je ne sais pas si cette mystérieuse chanson irait de concert avec une valse. A moins que.. c'était un collègue du conservatoire, de Frize ?

Sur ce, vient le "A ton avis". Alors elle note l'intensité dans le regard opposé, qui aurait pu la mettre mal à l'aise, si elle n'avait pas affaire, parfois, à ce genre d'égards.

- Je juge je juge, mais il me faut la suite..

La brune croisa les doigts. En attente, elle l'observait en souriant avec une sagesse angélique qui contrastait avec le sourire un peu pitre.

Peu à peu, un sourire amusé se désacralisa sur son visage, avec une devise publicitaire à la bouche. Elle fit comme un arc-en-ciel de la main, dessinant avec un sens précis et.. d'un seul mouvement ! alors que monsieur, lui, mimait tenir un pinceau et faire des arabesques.

Alors voilà : - "Le lait de la bergère" ce sera le titre. Mais, tu tomberais pas dans l'abstraction là ? Ça m'a l'air tellement surréaliste ! En fait elle aurait des étoiles sous les yeux ? c'est ce que tu es entrain de me dire ? En vérité.. si c'est bien réalisé.. ça sera comme avoir volé les astres pour les mettre dans les yeux du spectateur..! Plissant les siens, elle l'indique lui avec un sourire plus fin. Ça pourrait s'appeler, cet effet "le Kantajn".. A voix basse, comme une confidence.

Malgré ses longues phrases, elle ne perdait pas cet entrain et mystère. C'était sans doute trop, et elle rebu un peu de vin.

- Franchement bonne, franchement bonne cette idée.

Elle passe une main dans ses cheveux noirs. Ses pieds battent la cadence : alcool joyeux, voir dansant ?

- Et j'espère que tu as peint cette scène ! Mais j'ai pas de mal à y croire, mon artiste en herbe à tant de gloire et tout le monde veut l'avoir ; et alors il t'as eu ?

La transfiguration humaine de Vega haussa les sourcils, s'approchant d'avantage pour donner à cette drôle d'histoire une tournure sordide, mais pas sûr que ça marche. Il aurait fallu faire une expression plus tranchante et lui attraper les mains comme si elle avait tant d'empathie que sans être là, elle s'inquiétait aujourd'hui de ce moment de sa vie passée. Mais ça aurait été faux, or ce n'était pas encore le verre de trop.

Rodion aura un sourire, puis sur le ton de la taquinerie au début il dira :

- Héhé, écoute bien. En réalité, c'est plus un mini poème, mais c'est parce que tu sera la bergère que je vais peindre nue que je le récite devant toi, écoute bien, tu ne l'entendra qu'une fois d ma bouche. "Les plaisirs ont choisit pour asyle, ce séjour agréable et tranquille. Que ces lieux sont charmant pour les heureux amants. C'est bien l'amour qui retient dans ses chaines, milles oiseaux qu'en nos bois nuit et jours on entend. Si l'amour ne causait que des peines, les oiseaux amoureux ne chanteraient pas tant."   C'est alors qu'il attrape son verre, mais lèvera le doigt vers vega pour qu'elle se taise et ne réagise pas tout de suite. Une seconde lampée, et il reprend "Jeunes coeurs tout vous est favorable, profitez d'un bonheur peu durable. Dans l'hiver de nos ans, l'amour ne règne plus, les beaux jours que l'ont perd, sont pour jamais perdues." en posant le verre en même temps qui était resté dans sa main.

Alors, il aura dit sur le ton de l'humour : -C'etait une collègue maintenant que j'y pense Et pas un. Ca doit surement être la raison pour laquelle je m'en souviens si bien.


- Je sais qu'elle est bonne cette idée ! Elle vient de moi après tout ! Qui ça "il" ? intérogatif, alors qu'on sentait la musique s'activer et un rodion visiblement attiré par le rythme de la musique dansante.

Vega parut vite fait scandalisé, de visage par ce qu'il lui annonçait haut et fort, comme même si derrière l'alcool il y allait avoir la révélation de son corps. Et on l'a reconnaîtrait avec ses tâches, et..

Un bruissement du dos sous l'effet d'un vent invisible porta à son attention la position de tronc d'arbre où elle était, toujours droite. Mais son échine vient à se courber. En roseau plus souple elle se transforma, tandis que le poème à ses oreilles la happa.

Main sur la joue comme une rêveuse, elle n'imaginait pas d'autre voix. Elle pinça ses lèvres pour se retenir d'un commentaire et écouta tout ça. Le retenir ? Pourquoi pas, mais elle dû entre-ouvrir les lèvres pour mimer, et elle laissa cela échapper :

- J'ai aussi un poème.

Tout simplement jeté sur le papier, "Si l'amour ne causait que des peines, les oiseaux ne chanteraient pas tant".

- Ça me ramollit.. le lyrisme moi me poursuit. Ta collègue aussi ou c'était pour autrui ?

Les rîmes commençaient et moins de taquinerie aussi. Elle tournait avec son doigt son grigri dans le verre, qui faisait un bruit de frottement, dérangeant ?

Elle souffla du nez quand il s'enorgueilli de son idée. C'était pas d'elle la bergère, et ces histoires de lait ? Il l'avait prit pour telle, mais s'en rappelant plus elle trouvait ça comique. C'était se mettre dans de beaux draps.

Mais elle arrêta pour : - Le chien, le chien il t'as attrapé ?

Ça faisait longtemps quand même qu'ils avaient fini de marcher. Ses habits disparaissaient sous la table, et son pieds, car il s'arrêta de bouger. La musique n'arrivait pas bien à la réanimer.

Sa concentration était variable et elle cherchait des tâches que le visage gothique.

- Hmm... J'en sais rien, je connais pas trop sa vie. Mais c'est souvent l'effet de son poème. alors qu'il aura terminé son verre, il verra une vega pas deter pour danser... Alors rodia ne dira pas grand chose si n'est : Non, sinon je serai pas devant toi. A te raconter tout ça. Décidément, du vin et un poème d'amour, ça te rend toute chose. en souriant amusé, puis évidement enjoindra vega à raconter son poème si elle le souhaitait.

- C'est le début.

Peu importe la musique, elle ne voulait pas forcément que l'ambiance se prête au poème. Mais elle l'avait depuis longtemps, il fallait que ça sorte.


Son index arrête de tourner l'artefact dans le verre de l'auberge pour récupérer le verre de vin. C'était comme Rodion tout à l'heure, comme s'il y allait avoir une suite. C'était en suspens.

Elle l'avait dit avec l'emportement et la théâtralité qui allait avec cette première partie. L'alcool desinibait, cependant on sentait que ça avait été écrit. C'était rythmé.

Semblant moins assumer cette partie, ou bien s'impliquant dans la partie, c'est là que son regard dévie, mais semble espérer sans détacher.

rodia écoutera, puis la coupera :

- Ouai, on sent que tu fais ça pour transmettre un truc ! c'est bien et y'a de l'envie en tout cas ! en souriant En tout cas, si c'est vraiment de toi ça a le mérite d’être original ! voulant visiblement abréger, ce n'est pas comme si il savait juger les poèmes en vérité. Il dira alors Tu comptes rester longtemps à frize ? D'ailleurs, tu peux continuer ton poème si tu le souhaite, tu l'a écrit quelque part ?

Vega se racle la gorge en suivant la "coupure" de Rodion.

- Hem euh.. il me reste plus qu'une petite semaine ici, je fais beaucoup de navette.

L'Ange dodeline de la tête pour confirmer qu'elle voyageait beaucoup.

- Je l'ai écrit quelque part ? Hmhm, et tu t'attendais à une suite, vrai ?

Ce Hmhm fut une validation.

- Et celui que t'as dit tu l'as écrit quelque part ?

- Ah je vois… tu es du genre à ne pas rester toujours au même endroit ! Comme au debut, un esprit libre dans un corps libre ! ensuite pour la question sur la suite il hausse les epaules, semblant vouloir dire qu’elle pouvait continuer ou s’arreter ensuite Ah non ! Je l’ai retenu par coeur, c’est dans un style de poesie ou de simple recitation quand je l’ai dit. Mais il y z une sorte de musicalité de base, qui permet de facilement s’en souvenir. assez simplement, son verre de vin est vide, il regarde alors vega Hmm… on fait quoi maintenant ? en souriant, cela semblait une question veritable

La jeune femme fait "trembler" sa main, pour indiquer que c'était quasiment ça, qu'elle était libre, mais pas totalement. Parlant plutôt moins que plus, elle haussa les sourcils en hochant la tête.

- J'aimerais bien l'apprendre.

Cela dit, et constatant leur deux verres vides d'un œil calme, la fille indique la piste de danse.

- Tu voulais pas danser ? J'aimerais bien me dégourdir les pattes.

Elle rigole un peu, comme dans l'auto-dérision.

Il sourit, puis se lève en attrapant la main de vega la faisant ainsi se lever et le suivre jusqu’à la piste, il dira :

- De quoi ? Le poème que j’ai récité ? en haussant un sourcil j’esperai que tu me le propose d’ailleurs ! Bah tiens, un cavalier et une cavaliere, même si on est loin d’un bal, on fait un vrai ptit couple comme ça ! en souriant et sur la taquinerie

La trainant jusqu’à la piste; la musique bien assez entrainante les fera danser et bouger leur corps assez instictivement tout en gardant le rythme et une certaine uniformité avec les autre « couple » autour.

- Parfaite illusion !

Avec un sourire taquin, et un lointain fond de sarcasme qui ne faisait écho qu'à elle, dans ce petit brouillard, la partenaire de danse était poussée par la musique et par l'entrain de Rodion.

Était-elle bonne danseuse ? Pas vraiment, mais elle se sentait assez légère, ne se rendant pas compte de ses maladresses. Mais s'ils avaient une certaine uniformité avec les couples autours, par mimétisme elle ne devait pas se débrouiller si mal.

Elle rigolait un peu, Rodion faisait des mouvements de mains assez marqués lorsqu'il avançait ses pieds lorsque la musique fut bien rythmée.

- Le rythme dans la peau, partenaire !

Avec un sourire, elle prenait ces marques entraînantes. Mais comme les mains étaient comme pressées sur une table, donc droites, elle lâcha assez vite l'affaire.

Elle avait une robe beige, en coton, et ça tournait un peu.

- héhéhé ! c’est alors qu’ils commencent a danser comme des zinzin

Evidement rodia n’etait pas dans un meilleur état que vega, ses pas etait maladroit mais franc ! Un peu comme vega. Ils danseront ainsi , virevoltant parmis les gens autour, tant d’autre danseur passait au millieu d’eux, tantot c’est un bouffon qui faisant des cabrioles qui venait se glisser entre les deux et faire des pirouette pour amuser la foule.

Alors qu’in rythme bien particulier commence, rodia commencera à attraper vega par la taille, et ils commenceront à tourner comme des zinzin dans une ronde folle à en donner le tournis et pour les spectateur et pour les danseurs , comme le faisaient les gens autour.

Le bouffon était passé si vite ! Pas le temps de réfléchir pour se dire si oui ou non il avait bien danse et si c'était les erreurs qui faisait qu'elle rigolait avec les autres.

Elle s'amusait comme ça, mais à force de tourner, elle allait en perdre haleine. Là, le rythme ralentit, ça, elle le remarque parce que son partenaire l'attrape à la taille. Cependant le rythme est toujours effréné et à un moment elle s'accroupie, forçant le mouvement.

- Ça tourne, ça tourne ça tourne dans mon ventre ! J'ai le tourni. Je vais me faire écraser ?

Rodia verra alors vega commencer à s'accroupir, puis entendra les mots, aussitôt, rodia tentera de la relever et la colle presque contre contre lui, la retenant avec ses mains et par la taille, soutenant l’ange en disant : Haha, c’etait une mauvaise idée a ce que je vois ! Et Non non t’inquiète, appuie toi sur moi je te pose sur une chaise en souriant et amusé par la situation

Pendant qu'il la relève, elle passe une main sur sa bouche. "T'es un drôle toi", se reprimenda-t-elle. Elle avait l'impression floue de l'avoir dit à Rodion.

Ses mains ensuite se posèrent sur les épaules de l'artiste avec assurance, alors qu'elle était un peu réticente. Un rire comme nerveux, via l'alcool, mais volontaire fila le train au sourire de l'étudiant.

- Tu me poses sur une chaise ?

Il n'avait pas d'ailes, alors elle ne comprenait pas comment il pourrait aisément la transporter. Et elle secoua très légèrement la tête ; une seule main resta sur son épaule. Si cela est, il sera en difficulté pour la porter, si telle était son intention.

Si cela est, elle ne tombera pas pour autant, l'autre main se mettant à sa propre hanche. Ainsi, elle se désolidarisa du corps de l'éphèbe en ressenti, comme si un dyptique venait à s'ouvrir vers la gauche.

Leurs flancs étaient côtes à côtes. Mais leur pas ne pourraient jamais aller de concert comme la course des trois pattes, à cause du vin. En ça, arriver jusqu'à la table allait être.. laborieux ?

Alors que rodia verra vega s’appuyer sur le cote, il aura un sourire amusé, malgré sa fine carrure, il fallait savoir que notre rodia etait d’un naturel athletique et pouvait la porté, mais en effet, mieux vaut ne pas tenter le diable, alors il marcherons… dificilement

Vega pourra entendre rodia dire :

- Doucement… douuuuucc alors que rodia commencera à être entrainé par vega vers une chute.

Mais heureusement, coup de bol surement, une table est en direction de leur chute, alors rodia mettra sa main derrier le dos de vega et avec sa paume ira stopper leur elan fatale.

Bon, il atterisse sur une position assez particulière, avec un rodia enlaçant presque une vega appuyé contre une table. Une fois leur cascade terminé, rodia lèvera la tête vers vega, se rendant compte que leur visage n’était qu’a une 15aine de centimetre, il dira de des yeux noir golem :

- Eh beh… on l’a échappé belle…

C'était quand même confiante, qu'elle s'avança. En tout cas il n'essayait pas pour l'instant de la porter. Mais pourquoi aurait-elle continué de présumer de cela ? N'avait-elle pas dit que tout deux s'acdordaient une confiance mutuelle ?

Pensant au soulagement, son corps dû être influencé par la détente, ou bien bien le sol, d'un coup ? Sa main était bien sur une épaule non ? Bah oui. Alors elle entraîna cette épaule dans une chute qu'elle n'anticipa pas, et avec lui le corps de l'ephèbe.

La table était sans doute rectangulaire et avait des arêtes bien anguleuses.

C'était rapide: elle pensa à ses ailes. C'était la fatalité : il allait l'écraser.

Mais elle senti une main se glisser, hâtive, avec les phalanges et tout le reste, aux doigts desynchronisés, qui alors se coincèrent entre son dos, plutôt vers le coxys, enfin juste au dessus, et le coude de la table. Et le tranchant du bois.

Par réflexe, elle ferma les yeux et s'écria - Ta main !

Quelle belle grimace fit-elle ! Elle voulu se redresser mais en ouvrant les yeux, elle vit dans l'axe le visage de Rodion, qui mis sur pause son geste de repentir.

Au lieu de quoi, la main opposée à celle qui était sous son dos, donc en face, vint tenter de passer dessus. L'autre paume, quand à elle, essaya de s'appuyer contre l'arrête pour relever le buste de la dame, ce qui rapprocherait ce dernier de cette dernière.

Silence.

- ...Tu peux enlever ta main si tu veux,

Elle aurait pu gager sur la solidité de son corps et l'attraper pour se tracter vers lui, mais il fallait qu'elle se degourrgisse les mains.

Puis, après cette latence : - C'est la faute du chien. Non non non le cherche pas, il est parti. Il cherche un certain Rodion. Je n'suis pas Rodion.

Vega haussa les épaules, et puis eu un relan et la main qui faisait tractation se posa sur sa bouche, encore. C'était un geste plus mollasson, quoique rapide.

Ses yeux couleur amande se plissèrent, l'air de dire "oups", dirigés sur le flanc par lequel ils avaient passé leur mains, puis en direction du Rodin.

Il dira d’abord :

- Hmm… si je veux… semblant hésiter, voyant ensuite la mainde devant la bouche avant d’entendre de la part des gens sur la table :

- Attention les ptits jeunes ! Y’en a qui aimerai boire un coup tranquille bahahahha !avec un rire bruyant accompagné d’un rire de dame

Rodia leur lancera un sourire avant de hocher la tête, c’est alors qu’avec sa main toujours dans le dos de vega, il l’attirera à lui pour la faire se relever. Ainsi, il se décoléra de vega et dira :

- T’as encore besoin de moi pour marcher ? avant d’entendre la musique redoubler d’intensité et de dire Rentrons à l’auberge, la musique commence à me faire mal à la tête… du moins, ce n’est pas la seule chose qui me fait tourner la tête là maintenant. en souriant