Ambroise Tucker
Feuille de personnage
Expérience:
    (48/100)
Puissance:
(94/100)
Je suis: Parfumeuse
 |  Sujet: Les contes de Galdria - « La princesse recluse »  Dim 28 Aoû - 14:21 | |
| Partie 1 - Emprisonnée Au sein de la chambre de la rousse, c'est une chambre de petite princesse rengorgée de mille et un biens précieux l'entourant, décoré d'une couleur rougeâtre. Parfumée d'une véritable flagrance rappelant la framboise, c'est assise face à une table que se trouve une rouquine.
Illuminée par un rayon de soleil chatoyant, la petite face au miroir se mit à attendre.Élise ne sait pas pourquoi, mais aujourd'hui, sa sœur semblait être gentille avec elle pour une quelconque raison.
Après une certaine attente, c'est alors que [REDACTED] fit son entrée avec une trousse de maquillage. Vêtu d'un beau sourire illuminant la pièce, Élise clignait des yeux.
- « Petite princesse, pour m'avoir aidé hier, je vais te pomponner. Aujourd'hui, c'est le grand jour ! Papa et maman m'ont dit que tu allais pouvoir sortir avec moi, hihi. »
Élise passait alors ses deux index ensemble, timides, en restant pour l'instant silencieuse. [REDACTED] se mit à brosser ses cheveux, et la maquiller doucement, que ce soit au niveau de ses joues, de son regard ou de ses lèvres. Stupéfaite au fil de son profil s'améliorant, c'est alors qu'Élise s'admirait en face de son miroir. C'était bien la première fois qu'elle se trouvait belle. Sa sœur, se relevant, se mit alors à tirer la langue de côté.
- « Je te laisse finir te t'habiller ! Je t'attends au fond du couloir. »
Suite à ces mots, Élise mit alors des habits qu'elle pensait irait bien pour sa première sortie. S'observant une dernière fois... Elle se sentait prête à enfin arpenter les rues de Palir.
 Déglutissant en passant sa main au niveau de la joue, celle-ci se mit alors à enfiler des gants noirâtres et d'un chapeau rosâtre. Prenant une forte inspiration, elle prit enfin son courage à deux mains en ouvrant la porte de sa demeure. Ne trouvant pas sa sœur au fond du couloir, elle avançait doucement jusqu'à celui-ci en observant différents vases et autres joyeusetés. Jusqu'à ce qu'une ombre vienne l'interrompre, la saisissant par l'épaule.
- « MAIS ENFIN, ÉLISE ! Vous savez bien que votre travail n'est encore point terminé pour aujourd'hui ! »
S'exclame une voix rauque, et fort peu agréable.
La jeune fille, titubant en tournoyant son visage de gauche à droite, semble forcer un sourire.- [REDACTED], je voulais prendre un peu l'air, je suis désolée ! Je vous le jure, c'est [REDACTED] qui me l'a dit ! Regardez, elle est...C'est alors que d'un visage horrifié... Elle ne voyait personne. Personne pour lui venir en aide, pas même sa sœur qui en fait n'était pas au fond du couloir.
La figure, plissant des yeux, vient alors saisir Élise par le bras jusqu'au pas de porte, lui faisant de signe de ne pas bouger. Prenant une fiole en la faisant tournoyer entre ses doigts au sein du bureau de la petite, elle venait alors passer son regard de temps à autre derrière elle pour donner une certaine pression supplémentaire à la petite. Comme si cela l'amusait de prendre la petite de haut, sachant qu'elle possédait un pouvoir contre elle. Un puissant pouvoir qu'on pouvait appeler « punition » dans la noblesse.
Élise, déglutissant, le regard apeuré, se mit à s'approcher du mur du couloir par une peur croissante en elle alors qu'elle place ses deux paumes de mains au-dessus de son visage. Toutefois, lorsque la figure vient alors sentir la fiole, Élise garde son regard fermé.
Après un instant, les bruits de pas de la figure font écho dans les pensées de la jeune fille. Et, après un instant, c'est alors qu'elle peut sentir une main caresser ses cheveux. Le souffle court, Élise vient alors relever son regard, la figure souriant pleinement en gardant un regard insistant dans le regard grisâtre de la petite.- C'est correct. Assez correct... Après une pause, la main se mit alors à s'arrêter de lui caresser les cheveux. Et, d'un coup précis, c'est alors qu'Élise se prit une baffe au niveau de la joue, celle-ci restant passif en ne disant rien.- Mais pas assez pour se croire tout permis. Je ne dirais rien à vos parents, mais que je ne vous y reprenne pas. De plus, vous ne sortirez pas de votre chambre aujourd'hui. Retournez à vos quartiers ! Titubant près du mur en avançant lentement vers sa chambre, Élise retombe sur ses fesses alors que la figure se mit lentement, mais certainement, à s'approcher de la porte pour la refermer, suivi d'un cliquetis faisant signe que la porte était désormais fermé à clé. Des larmes coulant de ses yeux, celle-ci se mit alors à marcher doucement en direction de son lit et de sa couverture après avoir jeté ses vêtements de côté, jusqu'à enfouir son minois sous celle-ci en posant ses yeux au niveau de la fenêtre.  |
|
